L'ENSEIGNEMENT DE L'ESPAGNOL EN CONTEXTE FRONTALIER : REVERS ET CARACTÈRE NON OBLIGATOIRE DE SON ENSEIGNEMENT DANS LE NOUVEAU SYSTÈME D'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE DANS LES ÉCOLES DE MÂNCIO LIMA/ACRE

os contratempos e a não obrigatoriedade do seu ensino no novo ensino médio nas escolas de Mâncio Lima/Acre

Résumé

Cette étude présente un aperçu de l'enseignement de l'espagnol dans la ville de Mâncio Lima - Acre. En ce sens, l'objectif de cet article est d'étudier, à partir du domaine de la linguistique appliquée, l'enseignement de l'espagnol dans les contextes frontaliers face aux revers imposés par la réforme de l'enseignement secondaire (loi 13.415/2017), qui établit la nature non obligatoire de son enseignement dans les écoles à travers le Brésil. Cette étude porte sur les perceptions de trois professeurs d'espagnol travaillant dans quatre écoles secondaires publiques à Mâncio Lima, ville frontalière avec le Pérou. La méthodologie adoptée est celle de la recherche qualitative, avec des données collectées à l'aide d'un questionnaire en ligne (Google Forms), afin de comprendre, du point de vue des professeurs d'espagnol du système scolaire primaire de cette municipalité, les revers et les implications de la frontière trinationale (Acre - Pérou - Bolivie) pour l'enseignement obligatoire de l'espagnol dans les écoles de l'État d'Acre. Les résultats montrent que la langue espagnole reste obligatoire dans la ville de Mâncio Lima, parce qu'elle est située à la frontière avec le Pérou et parce qu'il s'agit d'une langue historiquement importante pour les habitants de l'Acre.